Couvert par les phrases envoyées
Les lettres des émotions closes
Qui s’ouvrent au contact des yeux
Perdu dans les inoubliables brises
Déchirures de la soie protectrice
Aux allures mensongèrement fausses
C’est la faute de l’épouvantail éprouvé
Devant la razzia pour le blé
Des nuées épouvantables
Prisonnier du piquet de soutenance
Devant la rixe qui avance
Sur nos espaces insondables
C’est la décantation du marginallumé
Touché par l’électrique chargement
Conduit par ses paratonnerres vertèbres
Choqué par ces volts à la face
Les revirements qui éclairent le temps
La transformation des ténèbres
C’est la faute du système d’alarmés
Devant le cambriolage des idées
Des voleurs de valeurs
Muselé par les sourdines canailles
Devant l’action sans faille
Dans nos coffres inviolés
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