Comme si le ciel descendait
Pour toucher au matin
La naissance des nuages au ras les flots
Que le soleil s’élevait, merveille
Pour remettre le tout en place
Le vert aux forêts
Et les reflets de l’eau
Le huard sur son règne miroir
Tel un coq sauvage
De son ode message
S’affirmant le premier à voir poindre l’aube
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